Ce site respecte les principes de la charte HONcode.
Site certifié en partenariat avec la Haute Autorité de Santé (HAS).
Vérifiez ici
La course à pied est de nos jours le sport le plus répandue à travers notre bonne veille Terre et les raisons à cette pratique sont multiples.
Tout le monde peut courir, femme, homme, jeune, plus ancien et n’ importe où et sur toutes les surfaces.
Il suffit pour cela de prendre une paire de chaussures de sport, d’ouvrir sa porte et de courir.
N’avez-vous jamais entendu cette phrase : - Tu prends tes chaussures pour courir ce WE ?
Oui, nous prenons tous notre matériel de course à pied pour le WE, pour les vacances et celui-ci se résume en un petit sac de 40 cm sur 20, dans lequel repose le fameux sésame.
La Paire de Chaussures de Course à Pied
Oui mais voila, il faut l’acheter et pour cela chaque personne doit se rendre dans le Magasin, grande enseigne ou labélisé Course à pied (et oui cela existe) pour choisir son modèle.
Le novice va se lever le matin, et d’un pas décidé par une belle journée de printemps, (car c’est toujours au printemps ou en septembre que l’on prend les bonnes résolutions) va ouvrir la porte du magasin.
Mais catastrophe , devant la multitude de modèles, ce coureur à pied se dit qu’il aurait du finalement choisir la natation car les slips de bains sont au moins tous les mêmes.
Cette chaussure est le seul lien entre la terre sur lequel le pied va impacter et le corps.
Il convient donc de trouver la chaussure à son pied, et surtout à garder un équilibre postural et non pas d’essayer de corriger des troubles de la mécanique corporelle avec votre chaussure. (ce que nous vende les marques)
Un coureur à pied qui effectue un entrainement de 10 kms, va cumuler 20 000 vibrations, ce qui correspond à un poids cumulé de 10 000 tonnes
La foulée idéale du coureur n’existe pas.
Mais pour mieux comprendre, on peut considérer que l’attaque du pas s’effectue sur le talon postérieur entre la partie externe et centrale du talon.
Le déroulé de la foulée se continue depuis un axe externe, vers l’intérieur c'est-à-dire vers l’association, premier métatarsien et gros orteil.
L’impulsion se faisant au niveau du gros orteil.
Ce déroulé de la course doit se faire de la façon la plus équilibré entre l’attaque externe, et l’impulsion interne.
Les statistiques des fournisseurs repartissent 40% de pronateur et 15 % de supinateur.
Le reste étant des coureurs universels.
Je pense que cela est plus compliqué
Un pronateur est donc pendant la foulée une personne dont le pied va tourner d’une façon trop brutale vers l’intérieur, entrainant une surcharge vers le gros orteil
A l’inverse un supinateur est une personne dont le pied va rester en rotation externe avec parfois un appui exagéré sur le 5 ème orteil.
Les chaussures ont dans leur conception, des éléments corrigeant ses troubles de la mécanique.
C'est-à-dire qu’une chaussure avec un contrôle de pronation va posséder des éléments de renfort sur la partie interne, et à l’inverse un contrôle de supination se fera sur le coté externe de la chaussure.
Par exemple le système TS2 sur la NEW BALANCE est un composite constitué de deux couches qui va favoriser le déroulé du pied dans l’axe.
La chaussure ASICS assure par sa structure en bi densité DUOMAX une stabilité et un contrôle de la pronation.
Dans un premier temps si vous ne savez pas, il vaut mieux prendre une chaussure universelle très stable, (indiqué sur les étiquettes) car au moins elle ne pourra pas vous faire de mal.
A l’inverse un contrôle de pronation qui ne serait pas utile pourrait être catastrophique.
Dans un second temps, faites confiance au vendeur des magasins spécialisés car eux vous font souvent courir sur un tapis roulant, et peuvent analyser votre foulée et vous conseiller des modèles.
Enfin ces mêmes vendeurs par leur professionnalisme orientent leurs clients, lorsqu’ils ont un doute sur les podologues.
Donc dans un troisième temps et si vous avez un doute il faut consulter un de mes confrères.
Il existe trois types de chaussures :
Entrainement
Compétition
Trail
L’entrainement comme son nom l’indique, sert pour un usage hebdomadaire de 3 à 4 sorties, pour une distance qui varie entre 40 et 60 kms.
En fait la règle est simple .
Le poids de votre chaussure dépend de votre poids
Une personne qui pèse entre 65 et 75 kg devra prendre un modèle situé entre 300 et 330 GR.
Au dessus de 75 kg et près de 80 kg il faudra investir dans un poids de votre matériel supérieur à 350GR.
Pour les plus légers, optez pour une chaussure en dessous de 300GR.
Pour la compétition, ne vous en préoccupez pas, car tous les modèles ont des poids plumes, mais attention ce ne sont que des chaussures à course unique.
A l’inverse pour le Trail la chaussure se situe souvent au dessus des 350 GR, car elles présentent souvent une rigidité pour les terrains instables qui alourdit le matériel.
Il est très difficile de pouvoir identifier avec précision l’usure de votre chaussure.
Même si on peut vérifier le cramponnage, l’écrasement de la semelle ou encore effectuer le test de l’essorage.
La encore la règle est simple, suivant le modèle la durée de vie se situe entre 1000 et 1500 kms grand maximum.
Il faut donc compter.
Un coureur qui effectue 3 sorties par semaine de 10 kms changera sa chaussure au bout de 10 mois
- essayer de préférence vos chaussures le soir car le pied est en gonflé
- prendre ½ taille à une taille de plus surtout si vous envisagez de courir des marathons
- ne pas hésiter à vérifier si le modèle que vous souhaitez possède des largeurs
- vérifier que les coutures ne vous gênent pas
- ne pas prendre des contreforts trop rigides
- tester le laçage
- ne jamais acheter une chaussure sans l’avoir essayé car même d’une année sur l’autre le même modèle ainsi que la pointure peut varier.
Ménisque - L’arthroscopie du genou est la technique de référence des lésions méniscales du genou. L’objectif est de traiter la lésion méniscale (déchirure, fissure, languette, anse de seau …) en étant le moins traumatique possible pour le genou et le plus conservateur pour le ménisque.
L’objectif de cette opération est de réaliser une reconstruction anatomique du LCA, en utilisant une autogreffe (tendon du patient) sous contrôle arthroscopique. Le principe de TLS est d’utiliser un seul tendon ischio-jambier en greffe courte. Fiche technique de la ligamentoplastie du LCA au DIDT TLS.
Intervention chirurgicale: Le principe de l’opération est de réparer le ligament croisé antérieur (LCA) rompu par une autogreffe os tendon os prélevée sur le tendon rotulien. Intervention réalisé sous anesthésie locorégionale ou générale avec un garrot.